Mi mars 2016, ce sont les weekend ponçage murs et plafonds.
Après avoir bataillé pour avoir un compteur d’électricité pour chantier, le branchement d'eau, et le branchement de gaz nécessaire pour démarrer la chaudière, nous pouvons démarrer les travaux de "prêt à décorer".
Nous avons loué pour le coup une "girafe" avec un système d'aspiration pour éviter de mettre trop de plâtre partout.
Pendant que je fais des séances de musculation à poncer le plafond de l'étage, la famille commence déjà à peindre les plafonds du rez-de chaussé. Christelle à dénicher une peinture où 2 couches de blanc suffiront... En effet, nous ne voulions pas de peinture projetée qui râpe les mains quand on change une ampoule, et nous n'imaginions pas passer 2 couches de sous-couche et 2 couches de couleur blanche. Malgré ma tenu de ninja et ma bonne forme physique, j'ai bien eu mal aux cervicales à force d'avoir le nez en l'air.
Le weekend on peint les plafonds, et en semaine nous nous sommes fait poser notre poêle de masse. Le "petit" bijou de la maison.
Les weekends s’enchaînent et la peinture avance. Un taupe rosé pour les murs du rez-de-chaussé.
Et une couleur "réglisse" pour le mur du couloir supportant le futur escalier.
Passage du menuisier début avril pour installer le panneau en verre de notre porte d'entrée. On ne voit pas à travers et la lumière passe pour éclairer l’intérieur de la maison.
